Chaque année, pendant près de la moitié de l’année, les habitants de New Delhi sont confrontés à un phénomène alarmant. La pollution atmosphérique atteint des niveaux critiques, emprisonnant la population sous un nuage toxique. Cette situation confère à la capitale indienne le triste statut de ville la plus polluée au monde.
En novembre, la qualité de l’air a franchi de nouveaux seuils critiques. Les concentrations de particules fines ont dépassé de soixante fois les recommandations établies par l’Organisation mondiale de la santé. Cette situation alarmante a suscité une prise de conscience collective parmi les citoyens.
Face à cette crise environnementale, les habitants de New Delhi ne restent pas inactifs. De nombreuses initiatives citoyennes voient le jour pour interpeller les autorités et revendiquer le droit à respirer un air sain. Ces mouvements témoignent d’une volonté croissante de changement parmi la population.
“Nous ne pouvons plus ignorer ce problème. C’est une question de santé publique”, déclare un résident engagé dans la lutte contre la pollution. Ce sentiment est partagé par de nombreux habitants qui subissent quotidiennement les effets néfastes de cet air vicié.
Les campagnes de sensibilisation se multiplient, portées par des associations et des citoyens inquiets pour l’avenir de leur ville. Des manifestations sont organisées pour pousser le gouvernement à adopter des mesures concrètes et efficaces. La pression citoyenne ne cesse de croître. Cet engagement collectif vise à faire évoluer les politiques publiques en matière d’environnement.
